Arf...
Je viens de poster un manuscrit aux éditions du Dilettante.
J'ai pris soin de l'accompagner d'une lettre d'accompagnement. Au moment où je l'ai écrite elle me paraissait très bien : ni trop racolleuse ni trop modeste, ni trop littéraire ni trop plate, ni trop longue ni trop courte, ni trop explicative ni trop elliptique, etc.
Mais (ce genre de remords vient toujours trop tard) je me suis rendu compte que le dernier candidat ayant défini ses positions par des "ni-ni" a terminé la course dans le décor.
Bon, comparaison n'est pas raison...